Questions posées par les parents
- Self : Comment fonctionne le self ? émargement des enfants, serviettes de table, accès au rab, distribution du pain
- Accueil inversé : Quel bilan 2022-2023 ?
- Travaux : Quel est le nouveau planning ? Quelles sont les nouvelles dates de suivi des travaux avec les RPE ? Quels sont les dispositifs mis en place cet été par la ville pour lutter contre la chaleur dans les classes ? Quelles sont les solutions pérennes proposées par la ville suite au bilan sur l'expérimentation d'une rue scolaire ? Mise en route du chauffage ?
En attente date de rendez-vous par la mairie en l’absence de Mme Hakem
- Programme : Combien d'heures et quelles classes sont concernées par l'éducation sexuelle
- un bilan sur l'accueil des enfants en situations de handicap (avec dans l'idéal point de vue des AESH, Familles, enfants, instits et péri ?)
Ordre du jour
Bilan rentrée :
1 enseignant référent pour suivi enfants MDPH à l’école : équipe de suivi scolarité
347 élèves dont 28 enfants relevant MDPH dont 12 Ulis. Plusieurs AESH manquantes en début d’année. Difficulté de recrutement d’AESH, problème formation et recrutement. Depuis deux semaines, équipe complète. Il manque 6 heures pour un enfant en IME.
Déménagements des classes
Classes dans l’ancienne cantine pas terminées avant l’emménagement des classes :
Certaines fenêtres étaient manquantes (remplacées par du carton) --> problème de luminosité et de bruit des travaux (traversant le carton plus facilement que les fenêtres)
Manque de rideaux --> problème de visibilité du tableau et d’éblouissement des enfants à certaines heures de la journée
Pas d’Internet --> difficulté pour les professeurs à imprimer
Sécurité :
Exercice PPMS exécuté et plan à remettre à jour régulièrement par la directrice en fonction de l’avancement des travaux.
Par ailleurs, étant en vigipirate ++ les places de stationnement aux abords de l’école devraient être en stationnement non autorisé --> Est-ce que la mairie peut faire ajouter les panneaux correspondants ?
Périscolaire :
Présentation du projet d'animation périscolaire et organisation des services de restauration
3 postes le matin 2 CDI et 1 CDD
13 postes le midi et 3 postes inclusion dont 1 à pourvoir 280 enfants
11 postes dont 2 postes inclusion dont 1 à pourvoir 175 enfants
Mardi et jeudi intervenant extérieur multisport toute l’année sinon pas d’intervenant car besoin d’espaces pas disponibles
Corde à sauter disponibles
Accueil inversé : Pas de réponse de Léo Lagrange sur l’évaluation de l’accueil inversé ni sur le fait de pouvoir revenir en arrière.
Les RPE ont relancé le directeur de la mission périscolaire pour obtenir un rendez-vous et l’arrêt de l’accueil inversé.
Cantine :
Trois dernières classes ont le droit au rab : ils ont tous la même quantité et sont obligés de prendre entrée plat dessert. Pas de rab si l’enfant n’a pas fini son assiette. Les CP passent systématiquement en premier mais ils prennent 45 minutes pour manger du coup les autres enfants mangent plus tard. Rab uniquement pour CM mis en en place dans certaines écoles. Demande de mise en place de petite portion et grosse portion. Animateurs prennent en charge un groupe. Distribution des serviettes par le biais de panières enlevées par les animateurs le vendredi soir et remises le lundi matin dans la cantine. Beaucoup d’enfants n’ont pas de serviettes en tissus. Distribution du pain : un seul morceau par enfant demandé par la cuisine centrale.
Retour positif sur la salle qui est plus calme. Fonctionnement pas adapté par rapport à la cantine.
RASED :
Présentation du Réseau d'Aide Spécialisé
Trois enseignants en charge de l’aide pédagogique : Axel Guéguen (CP et CE1) et Béatrice Guesdon (CE2, CM1, CM2) : 100 demandes d’aide environ pour l’école mais seulement 40 possibles, trois jours de présence des enseignants spécialisés pour l’école. Moins d’heures de formation pour les enseignants spécialisés.
1 réunion par an pour le suivi des enfants en situation de handicap avec la psychologue scolaire : Elodie Thibaudeau
Une enseignante spécialisée chargée de l’aide relationnelle : Marie-Josée Tallio-Charrier ½ journée pour la Mut’
Evaluation d'école
Mutualité, Fonteny et Réformes considéré comme un groupe scolaire et inclus dans l’évaluation
Ce groupe doit faire son auto évaluation (nouvel outil gouvernemental). Toutes les écoles doivent le faire une fois tous les 5 ans.
Doivent être évalués : relations partenariales avec lesélèves, parents, mairie, association Léo Lagrange et fonctionnement de l’école
Autoévaluation par les usagers dont enseignants, enfants et parents. Questionnaire sera distribué dans les cahiers. Production d’un rapport d’autoévaluation envoyé à évaluateurs externes : inspecteur de l’éducation nationale, prof second degré et un directeur d’école. Il doit aboutir sur un projet d’école pour une durée de trois ans. Les enseignants craignent que cette évaluation serve à indexer les financements sur certains projets fléchés et exercer une pression comptable sur les écoles. Entretiens en mars avec usagers par évaluateurs externes. Rapport doit être produit avant.
Les résultats des évaluations nationales font partie des critères en plus des questions choisies par l’école. Nous proposons d’ajouter des questions sur l’inclusion des enfants porteurs de handicap. La FCPE 44 évoquera les enjeux de l’autoévaluation avec le directeur académique des services de l'éducation nationale lors de leur prochaine rencontre.
Projets des classes
4 classes découverte de CM2. 4 à 5 jours
Financement : contribution des familles, aide de la mairie et du département. Ces financements sont utilisés pour compléterce que les familles payeront en fonction de leur quotient familial.
Classes de mer pour les CP en juin : 8000€ pour le transport, financement à trouver (parents, Amicale)
Demande en cours pour toutes les classes grand air : attente réponse
Course et dictée Ella --> 1800€ récoltés
Piscine pour toutes les classes de CP, CE1, CM1 et 1 classe CM2
Patinoires pour CE1 et 2 CM2
Voile pour 1 classe de CM2
Education sexuelle pour les 4 classes CM2 : infirmière scolaire, groupes garçon et groupes filles séparés
Projets musicaux : chorale, comédie musicale, un intervenant du conservatoire
Projets littéraires
Une semaine dédiée au handicap
Une journée sur le harcèlement. Un questionnaire soumis aux enfants à partir du CE2.
Chronographes : classes de cycle 3
Sortie cinéma pour noël au Concorde
Divers :
Vote du règlement intérieur avec quelques modifications qui seront vues en conseil d'école
Dates des conseils d'école de l'année : 18 mars et 18 juin
23 parents ont répondu au questionnaire :
1/ pensez-vous que ce soit le rôle des parents de fermer la rue à la
circulation ?
2/ si non, avez-vous une idée / suggestion pour sécuriser la rue ?
3/ si la fermeture de la rue par les parents devait être pérennisée, quels devraient être les moyens alloués aux parents ou les aménagements complémentaires à réaliser ?
Tous estiment que ce n'est pas le rôle des parents de fermer la rue à la circulation.
Une personne a précisé que pour la phase de test, c'était bien que les parents aient participé mais toute fois ce n'est pas une solution pérenne.
Pour les 2 autres questions, je vous livre l'ensemble des réponses mais globalement tout le monde s'accorde pour dire que la mairie doit prendre ses responsabilités, l'école de Plessis Cellier est citée plusieurs fois en exemple.
Question 2 : avez-vous une idée / suggestion pour sécuriser la rue ?
- Le projet peut organiser un parvis trottoir en réduisant fortement la largeur de la rue des droits de l'homme- équipé de barrières permanentes avec une grande "poche" d'attente dans l'ancienne rue garçon/fille
- Soit c'est à la mairie de mettre en place un système, soit l'école ouvre ses portes avant 8h45 permettant donc aux enfants d'entrée au sein de l'école et de ne plus s'agglutiner devant le portail. Et peut-être que la mairie peut voir avec le périscolaire pour mettre en place un accueil entre 8h30 et 8h45, un accueil gratuit
- Il faut que la mairie embauche du personnel pour cette rache, comme cela se fait munis de gilets jaunes et de petites pancartes stop aux abords de certaines écoles comme celle du boulevard Jean moulin ?
- Une barrière pivotante ou des plots qui montreraient à heure programmable sans besoin de personne derrière pour sécuriser ? Seuls les "titis" auraient un code... mais risque de matériel endommagé très régulièrement et retour au problème initial.
- C est a la mairie de mettre du personnel pour cela.
- Un agent municipal et des aménagements urbains : signalétique école visible, élargissement du trottoir, rue à sens unique, ralentisseur, passages piétons. Signalétique chantier. Aménagements indispensables pour le soir où il n’y a pas de barrières et de parents!
- Barrière automatique aux heures de rentrée/sortie des classes
- Agents de la ville/Services civiques
- Police municipale /Comment ça se passe au Plessis Cellier ? Il y a deja des barrières non ? Ils demandes aussi aux parents de les gérer ?
- N'est-il pas possible d'ouvrir la première grille pour que les enfants attendent en sécurité ? Un peu comme se faisait l'entrée l'année dernière et n'ouvrir l'accès aux cours qu'à 8h45.
- Barrières électrifiées gérées par Philippe ? Un sas d'entrée avec rue a sens unique et barrières (sorte de trottoir élargi, esplanade) / Ou employé de mairie ? Il faut un urbaniste pour ça !!!!!
- Je pense que si les premiers arrivés mettaient la barrière sans rester ça suffirait.
- il existe plein d’exemple dans des écoles privée ou publiques ou un agent municipal assure la fermeture temporaire du trafic dans des passages dangereux (passage piéton, abords d’école)
- Barrière qui serait baissée/ relevée par le gardien en haut et en bas de la rue des droits de l’Homme
- Voir avec la police pour plus de sécurité ou une association qui réinsère des personnes en difficulté qui ont besoin d’avoir un retour à l’emploi par exemple Ou encore proposer peut être à des retraités de la maison de retraite du Fonteny par exemple pour créer du lien intergénérationnel
- Il me semble que la mairie pourrait détacher deux policiers municipaux pour se charger de sécuriser la rue aux horaires déjà définis.
- Présence policière. Création d'un dépose minute pour ceux qui viennent en voiture
- La fermeture, comme actuellement, me paraît bien. Mais je pense qu'il faudrait peut-être fermer la rue le temps des travaux.
- N'est-il pas possible que quelqu'un (le concierge ? un animateur du périscolaire ?un ASVP ? un agent (gardien ?) de la mairie de Chantenay ?) passe baisser les 2 barrières à une certaine heure puis les relève quand les enfants sont en classe.
- Sens unique avec large parvis et pas d'espace pour ce garer (comme devant l'école des réformes) Ou alors avoir des barrières avec code qui permettraient le passage uniquement au Titi et aux habitants…
- La mairie a une obligation de moyens, c’est donc à ses services de faire des propositions réalistes et effectives car elle/ils sont responsables pénalement en cas de problème (au côté des possibles mis-en-cause). Ce n’est pas parce qu’ils tentent de soustraire à cette obligation qu’elle n’existe pas ;
- Permanence assurée par la police municipale / ASPV ? Mise en place d’un feu, de bornes escamotable dans le sol programmées aux heures d’ouverture et de fermeture de l’école, ...
- La mairie peut faire appel à ses services (police municipale), faire des expérimentations (passage en sens unique, écluse, élargissement du parvis) par l'installation de mobiliers temporaires visibles par les conducteurs et les piétons. Ces expérimentations aurons plus de valeur si elles sont documentées par les services municipaux (comptages, photos, enquête terrain)
- Dans d'autres école le.la concierge de l'école dispose des clés d'un portail fixe (ex. Plessis Cellier) et ferme le portail entre 8h20 et 9h. Un panneau permanent prévient les riverains.
- Appui de la mairie qui dépêcherait un agent pour sécuriser la rue le matin (ou police municipale ?)
Question 3 si la fermeture de la rue par les parents devait être pérennisée, quels devraient être les moyens alloués aux parents ou les aménagements complémentaires à réaliser ?
- Ce n'est pas une solution perenisable
- Installation d'une barrière mobile comme près de l'école du Plessis Cellier ?
- Il faudrait également interdire et trouver un moyen pour dissuader les trottinettes électriques qui slaloment à vive allure entre les enfants, c'est très dangereux.
- Mêmes aménagements avec des parents à la place d’un agent municipal.
- Une bonne signalisation routière incluant passage à niveau, coussins berlinois et panneaux école...
- dubitatif mais peut-être faudrait-il avancer de nouveau les horaires d'entrée à l'école pour que la tâche soit plus compatible avec des horaires de travail ? (ce qui n'est pas une très bonne solution, le changement d'horaire avait de bonnes justifications par ailleurs...)
- Il faudrait mettre une barrière fixe (sur un « pylône »rotatif) comme il existe pour certaines écoles.
- si on conserve le dispositif, je suggère d’aménager la rue en conséquence (signalisation, réducteur de vitesse, barrières pérennes )
- installation d’une barrière par la mairie.
- Moyens matériel + encadrement par minimum un agent de la mairie
- Il faut rendre impossible aux gens de se garer dans la rue de manière sauvage, à cheval sur le trottoir.
- Si les parents doivent continuer leur présence, besoin de : barrière en dur au bon endroit (type à bascule par ex)
- Et d'un système d'inscription simplifié ainsi que d'une ressource mairie pour relancer en début de semaine sur les créneaux orphelins…
- La solution la plus simple est d’affecter du personnel in situ à la politique publique de rue scolaire (soit en fait le temps des travaux). La plus pérenne serait de mettre en place une borne escamotable (avec carte pour les résidents de la rue) pour les horaires du matin. La borne serait ouverte par défaut et fermée sur les horaires d’arrivée/sortie scolaire.
- Pas de permanence assurée par les parents ! Voir préconisations énumérées au point 2 + Aménagement de la rue de fonteny. Cette rue est très étroite, les trottoirs aussi, et, du fait de la fermeture de la rue des droits de l’homme, elle est très fréquentée. Le flux de véhicule se déverse dans cette petite rue, ce qui créé un réel danger pour les piétons. Il serait judicieux de règlementer la circulation des véhicules dans cette rue aussi.
- Personnellement je ne vois qu'un épuisement à court terme. De nombreuses familles font déjà la dépose des enfants dans deux écoles (c'est notre cas avec les Réformes + pedibus) et commencent le travail à 9h, et ce n'est pas équitable que d'autres doivent assumer cette mission pour tous.
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